avez-vous des questions ?

 

Comment tu effectues la répartition des tâches en fonction de ta programmation ?

 

Je réalise une programmation comme dans toutes les classes. Je décide à quel moment je veux étudier telle ou telle notion ou  tel ou tel savoir faire. La seule  différence, c’est que je prépare ensuite non pas semaine par semaine mais par bloc de  3 semaines. Comme toi, je choisis ce que je vais présenter en leçon, quels seront les exercices d’application et quelle sera la restitution finale. Pour les semaines suivantes, je prolonge avec des exercices d’entrainement ou d’approfondissement et j’utilise beaucoup les réinvestissement lors de projets, ou l’interdisciplinarité.

La différence finalement réside dans le fait qu’au lieu de proposer aux élèves les exercices de façon linéaire dans le temps, je propose tout d’un bloc, en multipliant les modes d’entrée et en laissant une liberté dans le choix à la fois de l’ordre et du passage. Ainsi, il arrive que certains ne fassent pas un exercice. Mais ce n’est pas pire que l’élève qui dormirait au fond de la classe ou qui va moins vite qu’un autre. Ce qu’il a fait est déjà bon pour lui. Pour le reste, il assistera à la mise en commun, et, de mon côté, je veille sur le parcours de chacun avec la grille du tableau. Je sais donc que lors des prochains parcours, je guiderai cet enfant vers les ateliers nécessaires pour lui qu’il a évité faute de temps, d’envie, ou par peur de l’échec peut-être.

 

Comment gères-tu les apprentissages?

 

Je connais chaque élève. Je sais ce qui est essentiel pour lui. Je veux dire, au-delà des connaissances du programme (et à travers elles), je considère qu’il y a des priorités indiscutables et je focalise mon intérêt dans les corrections individualisées (en présence de l’enfant). Je n’ai pas les mêmes critères d’évaluation pour chacun. J’ai des grilles pour certaines notions, mais l’essentiel est dans ma tête.

Du coup, tant que ce n’est pas acquis, c’est étudié, approfondi. Rien n’est bâclé ou laissé de côté. Les enfants s’investissent car ils s’auto évaluent avant de me demander si je suis d’accord avec eux.

Ils apprennent en classe, révisent en classe et récitent ce qu’ils doivent réciter avec moi, individuellement.

 

Quel est le travail de préparation nécessaire à une telle organisation? Peux-tu me donner plus d'éléments sur cette organisation?

 

 

Comme tout le monde, je prépare une progression par période en début d’année. Je répartis plus ou moins équitablement les connaissances. En fait, dans mon cas, je fais une programmation sur 2 ans, car j’ai un double niveau.

Toutes les 3 semaines, je prépare mon « bloc ». Je prends la progression et je me note pour chaque domaine une notion à étudier. (en général 2 en maths et 2 en français)

Je répartis en fonction de l’emploi du temps les nouvelles notions sur la semaine (c’est classique jusque là)

Puis, je prévois environ 25/30 ateliers.

Il faut que tous les domaines soient renseignés, il faut que je mixe application des nouvelles découvertes, entrainement, ateliers d’approfondissement, ateliers « récurrents » (que j’adapterai ensuite en fonction de chacun). Je m’appuie aussi sur tout ce que j’ai noté de mon observation du dernier parcours et l’analyse de la grille de passage des élèves.

Je prépare la grille. Je note les compétences, les consignes, les lieux.

Je choisis les supports, les jeux, les livres (zéro photocopie ou presque, puisque chacun travaille sur un livre, un document, un jeu, un matériel à manipuler distinct).

Je photocopie les grilles + la grille du tableau (à afficher)

Je récupère du matériel de différentiation  pour les points pour lesquels je sais que tel ou tel élève va bloquer ou bien lorsque je sais qu’un élève va me demander une aide spécifique en atelier « PPRE »

 

Au début : 2 journées énormes de travail. Aujourd’hui, avec l’entrainement, environ 5 ou 6 heures.

Mais je ne  fais ça une seule fois toutes les trois semaines.

 

Ensuite, la première semaine, j’ai du travail de correction de cahiers (essentiellement des traces écrites à corriger).

Les semaines 2 et 3, pratiquement pas de travail hors temps scolaire, à l’exception du matériel que je récupère à droite à gauche pour améliorer un truc qui cloche ou pour aider un élève. Toutes les corrections sont faites en direct avec l’élève. Tout est corrigé. Evidement, comme tous les instits, je passe des heures à cogiter et à bouquiner, mais ça…

(j’en profite pour faire la direction d’école ;-))

 

 

 

Comment gères-tu le suivi des élèves?

 

Le suivi est donc individualisé.

En début d’année (au bout de 15 jours environ), je propose un document d’autoévaluation à chacun avec des questions ciblées sur les goûts etc. J’en discute avec chaque enfant et j’établis avec lui ses priorité. Je rédige des PPRE pour certains (14 cette année !). Je rencontre les familles.

Ensuite, je  laisse les enfants tout noter dans leur cahier de compétences. Je les « vérifie » avec eux et plus globalement, je les ramasse une ou deux fois par période.

J’ai un cahier à moi d’évaluations, très sale et très brouillon, dans lequel je note des tas de commentaires et des signes pour me repérer. Mais ça ne sert à rien, j’ai tt ds la tête en fait. Ça me sert juste en fin d’année, pour passer le relais lorsqu’ils quittent ma classe (pour le collège de secteur).

 

 

Quels sont tes outils propres?

 

J’ai beaucoup de matériel perso (jeux…). J’en fabrique et j’en achète au fur et à mesure. J’emprunte aussi.

J’utilise beaucoup de livres, livres documentaires etc…

J’ai pas mal de manuels scolaires en « spécimen » (c’est pas cher) C’est suffisant car ils travaillent plus ou moins seuls et en plus je peux varier les approches.

Enfin, je fais construire beaucoup de jeux ou d’outils aux enfants.

 

Les outils liées à l’organisation sont :

Les foulards INDISPENSABLES (rouges et gris)

Les grilles élèves dans un cahier « ateliers »

La grille au tableau (que je récupère et analyse ensuite)

Les cahiers de compétences des élèves. Ils ont aussi un cahier d’évaluations classique que j’utilise assez peu, mais un peu quand même.

 

J’ai un TBI (très pratique pour enregistrer et réutiliser les tableaux)

12 pc portables élèves et 5 casques audio (je n’utilise plus les petits écouteurs dans les oreilles à cause de l’hygiène)

1 bras pour projeter des images sur le TBI (mais finalement, je trouve plus simple de photographier une production et de projeter l’image directement au TBI)

Une webcam toute simple

Un microcasque (15 euros ?) pour enregistrer les dictées, l’anglais, les contes…

La photocopieuse.

 

J’utilise chaque jour l’ENT ALIENOR.

Tu peux aussi faire un site libre dans lequel tu postes des documents pour les élèves.

Il y a le blog de l’école, c’est super pour l’interaction (organisation du type « journal de classe, cahier de vie »). Ce n’est pas ouvert au « public ». La messagerie est très utilisée par les enfants également.

Je l’utilise en classe et à la maison (blog et mails) (défi lecture, traces diverses…)

L’école est équipée d’un serveur, donc, chaque élève a un espace dédié.

J’utilise chaque jour aussi le logiciel libre format factory pour tout convertir,  les outils windows (capture d’écran, magnétophone) et le logiciel « cute pdf » (gratuit) pour convertir tous les tableaux TBI en pdf et les distribuer à ceux qui en ont besoin (absents, présents en retard, élèves en difficulté) (mémoire visuelle).

J’utilise windows movie maker pour les films que je convertis avec format factory avant de les poster sur youtube et de créer des liens. (Copier/coller les codes d’intégration en html) (mots barbares mais très simple)

 

 

 

 

Est-ce que les élèves ne sont pas en demande d'un retour au grand groupe durant les deux semaines d'atelier?
Y a-t-il, durant ces deux semaines, des temps durant lesquels les élèves confrontent leur travail, leurs idées, leurs procédures?
Est-ce que tu prévois des projets, qui justement permettent ce retour au collectif? J'imagine que oui, mais alors de quelle manière et à quel moment?

Oui, dès que le besoin s’en fait sentir, il y a des « arrêts sur image » ( je dis « standby » pour rigoler) et on se regroupe (plus ou moins par terre, autour d’une table…) et on discute, comme on fait quand on fait un conseil, ou quand on débat une règle de vie. Je  ne développe pas ça dans mon travail car c’est un peu en périphérie, mais tu as raison, il faudrait que je l’explicite.

Qd on se regroupe, ça peut durer 3 minutes comme 30 minutes et/ou faire place à une trace écrite, ou une affiche, ou une « fiche outil provisoire » pour aider dans un atelier par exemple. C’est totalement de l’impro. Il est rare que je le prévoie.

Par exemple, demain, au contraire, j’ai prévu de faire une pause à cause de la  géométrie car je veux mettre en évidence que dans la description de la figure le fait d’ignorer les dimensions du diamètre de départ peut induire des figures de tailles très distinctes. Là, c’est ma démarche. Parfois, c’est à l’initiative d’un élève qui veut faire remarquer aux autres, comme ce matin, que c’est « bête » de poser la division par 10, on perd du temps, c’est mieux d’appliquer directement la règle « qd je divise par 10 je décale la virgule d’un rang vers la gauche »

Généralement aussi, qd un élève fait remarquer un truc au groupe, ça donne envie aux autres d’y aller.

En ce qui concerne les projets, il y en a toujours. C’est l’intérêt de la coopération. Par exemple, en ce moment, on termine d’illustrer 3 contes écrits par les élèves de sixième du collège (recherche des lieux, personnages, évenmt ds le récit, détails de l’histoire….)

Lien vers le projet tout entier : http://paperclasscoop.jimdo.com/questions-et-usages-de-l-ent/exemples-d-usages-de-l-ent/un-exemple-de-r%C3%A9alisation-projet-finalis%C3%A9/

Lien vers les contes :https://alienor64.ac-bordeaux.fr/ent/site/site-cm1-cm2-21/page/contes-des-eleves-du-college

Il y a des communications entre les élèves, au-delà de l’aide, lorsque, par exemple, un élève rentre des productions sur l’ENT, ou quand ils co-élaborent un travail. Par exemple, avec mes petits phasmes ;-) démarche scientifique et élaboration d’expériences, seul ou à deux (en fonction de leurs choix d’hypothèses : ils travaillent seuls et confrontent ensuite, ou bien directement à deux.)

En fait, comme dans toutes les classes je pense, non ?

Également, je prends un petit groupe pour aider, ou aller plus loin pendant que d’autres sont en ateliers. Y’au aussi le maître Rased qui intervient 2 matins par semaine.

Ou qd des élèves ont été absents, ils peuvent décrocher des ateliers pour rattraper les leçons, et, du coup, je les aide à comprendre et/ou d’autres élèves font mon boulot ;-)

En tout cas, les mômes adorent travailler en ateliers et attendent toujours ces moments avec impatience.

 

N'y a t-il pas des notions qui doivent être structurées par la présence d'un adulte ?

 

Oui, absolument. L’idée c’est que justement, je prends le temps de passer voir chaque élève. Donc je structure mais individuellement, en fonction du niveau de l’élève. On ne peut pas expliquer de la même façon a celui qui a déjà les bases requises, celui qui ne comprend pas vite, celui qui est anglophone, celui qui a besoin de manipuler etc…

Mais, tout de même, les notions nouvelles sont toujours présentées de façon « classique » pendant la semaine 1 et généralement reprises en grd groupe lors des instants de mise en commun après les parcours.

 

N'y a t-il pas des notions qui soient plus difficiles que d'autres à lancer? 

 

Oui, selon les enfants surtout. Parfois, comme dans une séance habituelle en grand groupe, les enfants ont des difficultés. Du coup, forcément, le passage dans le parcours est plus délicat. Mais du coup, les parcours se justifient d’autant plus.

La subtilité consiste à trouver l’entrée adéquate correspondant à l’enfant. Ce n’est pas facile en début d’année, mais très vite, tu connais bien chaque enfant donc tu sais à l’avance qui risque de bloquer et pourquoi.

Parfois, je passe plus de temps sur une notion que sur une autre, mais tout ça, je pense que ça relève du fonctionnement de tout le monde.

 

Comment fais tu pour les projeter dans ces apprentissages? Comment fais tu pour susciter l'envie d'aller seul dans ces parcours?

 

Pour l’envie, c’est très simple : ils ont envie : ça change, tout simplement. Je crois que tous les élèves ou presque souffrent ou subissent un peu le système traditionnel. Ils sont assez peu nombreux à être « scolaire ».

Les ateliers du début de l’année sont très ludiques. Peu à peu je complexifie. Lors de la première présentation, je m’arrange pour qu’il n’y ait pratiquement rien à « apprendre » hormis le fonctionnement lui-même. J’accepte de perdre du temps en début d’année.

Et puis ils comprennent vite qu’ « une bonne journée d’école est une journée où alors qu’on ne comprenait pas qqch, on  a fini par comprendre ». Ils savent que ça ne sert à rien d’aller là où on sait déjà. Il faut viser les difficultés pour être aidé.

Je leur apprends à panacher les ateliers, en ménageant des temps de repos, des temps ludiques et des temps de réflexion, de dépassement des difficultés.

Pour cela, je discute individuellement pour faire prendre conscience, et je réunis souvent les enfants en petit conseil. Je félicite et encourage beaucoup les moments difficiles, le courage d’aller vers une activité compliquée.

 

Comment présentes tu cela?  comment démarres-tu les premières semaines?

Sur des pages du site j’explique la progression de la prise en main par les enfants

(Les foulards/l’informatique/les parcours) En 4 semaines à peu près c’est bon pour tout le monde. Cette année il m’a fallu 5 semaines. Mais seuls 4 élèves étaient dans ma classe l’an passé. Du coup, il n’y avait pas (ou peu) d’élèves « tuteurs ».

 

Les enfants se trouvent face à des exercices où ils vont chercher des réponses dans des livres (règles de grammaire, mémo de maths, documentaires d'histoire de géo de sciences...)conflits socio-cognitif travail sur les nombres décimaux.

Ils ne sont pas seuls car ils interagissent, demandent de l’aide, interviennent pour aider un camarade, produisent et affiche une règle ou une astuce qu’ils ont compris, exposent « spontanément » une découverte, appellent un camarade pour partager, etc…

Du coup, ils confrontent leurs avis, ils apprennent aussi des autres. Les livres ne font pas tout, loin de là.

Pour les décimaux, par exemple, je fais beaucoup de manipulation, de défi rigolos (par exemple, sur le grand tableau, trouver le plus possible de nombres entre 1,1 et 1,2), et beaucoup de jeux de société. Ça marche très bien. Ça n’empêche qu’un élève en difficulté est un élève en difficulté, mais c’est un élève aidé à son niveau, qui n’est pas stigmatisé et qui n’a pas une conscience dégradée de lui-même. Pour autant, ils se rendent compte eux-mêmes. Mais sont d’autant plus fiers de réussir. Il n’y a pas de comparaison possible objective entre les élèves. Les qualités d’initiative, d’autonomie sont plus apparentes que les qualités cognitives dans le groupe.

Cette année par exemple, j’ai entendu un élève vraiment brillant faire un commentaire sur un élève qui a de grandes difficultés de compréhension, en disant que si quelqu’un a des difficultés c’est cet élève qu’il faut aller voir car il assure vraiment bien !

 Mais mon objectif avant tout est de former des élèves capables de trouver une réponse là où elle se trouve, de reconnaitre quand ils ont besoin d’aide et de chercher des solutions adaptées à leur mode de pensée. Qu’ils soient autonomes dans la recherche de l’interaction, dans la gestion de leur parcours. Qu’ils se respectent et respectent les autres.

 

Qu'en est-il de la suite ? au collège? est-ce qu'on va encore à leur rythme? quels sont leurs résultats ensuite?


Nous avons la chance ici d'avoir un collège de secteur relativement petit (3 classes de 6°). L'équipe des enseignants est attentionnée, c'est assez familial. Pour autant, l'enseignement reste traditionnel.  Certains collègues réfléchissent pour adapter leur pédagogie autour des ateliers. On passe du temps ensemble autour de tout ça. Mais c'est compliqué, en particulier à cause du découpage "temps".

Sur le réseau Viaeduc, j'ai pu faire connaissance avec des collègues du secondaire qui mettent en place des systèmes proches de celui-ci et qui ont réussi à trouver des solutions intéressantes. Mais ça demande un investissement d'équipe. Il faut être passionné, je crois.


Donc, pour répondre à ta question: non, les élèves qui partent au collège doivent suive le rythme qui est imposé à tous.

C'est compliqué pour certains, mais je pense que ça aurait été de toute façon compliqué pour eux (profil des élèves dysgraphiques/précoces). Je suis convaincue que le temps passé au primaire à "prendre son temps" a aidé à prendre confiance et à améliorer la rapidité.

Les élèves sortant de cette classe et accédant en sixième ont ensuite un parcours scolaire bon voir très bon. Évidement, il peut toujours y avoir des élèves ayant des difficultés, il n'y a pas de miracle. Mais tous sortent autonomes, tous ont des bases solides puisqu'elles ont été bien consolidées en fonction de chaque enfant.


En revanche, plusieurs enfants ont du mal à apprécier de rester assis sur une chaise pendant une heure de classe. Je ne sais pas s'ils auraient aimé cela s'ils avaient vécu une autre scolarité primaire. Mais je suis convaincue que ce n'est pas une solution de les priver de parcours personnalisés dans le but de les adapter au collège.


Si vous avez des questions au sujet des parcours personnalisés, vous pouvez envoyer un mail ou utiliser la zone "commentaires" ci-dessous.

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Commentaires: 4
  • #1

    DAUTRY Sylvie (lundi, 23 février 2015 17:19)

    Je découvre votre travail en atelier et j'en suis enthousiasmée, voilà enfin des pratiques des Tice au service d'apprentissages autonomes, dans le respect du développement de chacun avec plus d'écoute et de soutien individualisés , la mise en oeuvre de partages collaboratifs et critiques...BRAVO!
    Je suis une enseignante de philosophie en CLD ne pouvant plus exercer mon métier en classe dans la situation classique, je cherche une reconversion et souhaiterais savoir si je peux intervenir par exemple en éducation civique et morale dans un cadre à définir...

  • #2

    guirado elisabeth (dimanche, 08 mars 2015 13:04)

    je suis épatée et consciente que notre système scolaire vit ses derniers moments avec des élèves qui perdent pied avec ce que "le système" attend d'eux. Mais qu'en est-il de la suite ? au collège? est-ce qu'on va encore à leur rythme? quels sont leurs résultats ensuite?

  • #3

    paperclasscoop (samedi, 14 mars 2015 15:48)

    Bonjour Sylvie et excuse-moi du temps que je mets à répondre à ton commentaire, je n'ai pas pris le temps de me pencher sur tout ça ces jours-ci. ;-).
    Je ne comprends pas bien ta question au sujet de l'enseignement moral et civique. Si tu veux, contacte-moi par mail agnes.bezanilla@ac-bordeaux.fr .

  • #4

    paperclasscoop (samedi, 14 mars 2015 15:52)

    Babeth, je réponds à toutes tes questions au dessus.
    100 % ok pour vous aider là-dedans, contente que tout cela te plaise à toi et à l'équipe.
    Déjà que je rêve toujours de ta merveilleuse école, alors, là, c'est sûr, je vais rêver de demander ma mut' au soleil !